Résumé :
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Dix ans après La Solitude des nombres premiers, un adieu à la jeunesse, un bouleversant roman d'amour et d'amitié. Chaque été, Teresa passe ses vacances chez sa grand-mère, dans les Pouilles. Une nuit, elle voit par la fenêtre de sa chambre trois garçons se baigner nus dans la piscine de la villa. Ils s'appellent Nicola, Bern et Tommaso, ce sont « ceux de la ferme » d'à côté, jeunes, purs et vibrants de désirs. Teresa l'ignore encore, mais cette rencontre va faire basculer sa vie en l'unissant à ces trois « frères » pour les vingt années à venir, entre amours et rivalités, aspirations et désillusions. Fascinée par Bern, personnage emblématique et tourmenté, viscéralement attaché à la terre somptueuse où il a grandi, elle n'hésitera pas, malgré l'opposition de sa famille, à épouser ses idéaux au sein d'une communauté fondée sur le respect de la nature et le refus du monde matérialiste, à l'image de la génération des années quatre-vingt-dix, tiraillée entre le besoin de transgression et la soif d'appartenance, mais entièrement tendue vers l'avenir, avide de tout, y compris du ciel. Traduit de l'italien par Nathalie Bauer Né en 1982 à Turin, Paolo Giordano est docteur en physique théorique. À l'âge de 26 ans, avec son premier roman, La Solitude des nombres premiers, il est le plus jeune auteur à obtenir le prestigieux prix Strega : deux millions d'exemplaires vendus, une trentaine de traductions dans le monde. Il confirme ensuite son talent dans Le Corps humain et Les Humeurs insolubles. Nathalie Bauer a publié plusieurs romans et traduit plus de cent ouvrages italiens, dont des 'uvres de Mario Soldati, Primo Levi, Natalia Ginzburg, Marcello Fois et Michela Murgia. « Paolo Giordano possède une écriture attentive et sensible qui va au c'ur des choses sans craindre de décrire un sentiment aussi universel que l'amour et qui fait de Dévorer le ciel un livre extraordinaire. » Huffington Post « Un écrivain qui n'a pas peur de partir à la recherche de l'absolu. Et qui nous pousse à regarder au-delà des apparences. » Io Donna « Une suite à la hauteur de La Solitude des nombres premiers. Giordano parvient à créer un groupe de personnages complexes qui marqueront profondément le lecteur. » Trouw « Une réflexion captivante sur les rêves utopiques. » Frankfurter Allgemeine Zeitung
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